Bouquet, j'en parle en fleurs pour Maman
Pour ce jour, il me fallait faire parler les fleurs,
Afin d'être avec elle, pour partager son bonheur,
Et c'est ainsi que pour palier à son absence,
J'ai commencé mon bouquet par un peu d'absinthe.
Elle me manque et je ne puis lui demander,
Pour mon espoir, d'ajouter l'amandée,
Elle était toujours là, sa constance bien marante,
Dans un recoin, j'y mets mon amarante.
Dans mes pensées, elle est cet ange magnifique,
Qui m'inspire à cueillir cette angélique,
De ses petits plats, j'en garde les arômes,
En écoutant la belle âme de l'arum.
Au doux espoir de l'aubépine, elle s'en est allée,
Mais ma joie d'encore l'aimer vaut bien cette azalée,
Timide, je ne lui avait dit car je suis belle de nuit,
Elle était belle de jour et tout ce qui s'en suit.
C'est près de mon camélia que j'y vois sa constance,
Rouge ou rose, il me porte toujours chance,
Je dessine au fusain ton image dans mon cœur,
Tu es mon immortelle pour encore plus de bonheur.
D'ici, mon mimosa enrobe tes délicatesses,
Tu es ma reine-marguerite qui lutte en tendresse,
Aujourd'hui pour ton calme un p'tit peu de lupin,
Pour ta beauté, de roses, j'en mets plein,
Je partage cette échinacée, la force de ta fille,
Ce coquelicot pour ton repos bien tranquille,
Et par cette véronique, nos pensées encore s'accordent,
Ce chrysanthème sur ton corps enlève toutes discordes.
Pour ce jour, il me fallait faire parler les fleurs,
Afin d'être avec elle, pour partager son bonheur,
Et c'est ainsi que pour palier à son absence,
J'ai commencé mon bouquet par un peu d'absinthe.
Elle me manque et je ne puis lui demander,
Pour mon espoir, d'ajouter l'amandée,
Elle était toujours là, sa constance bien marante,
Dans un recoin, j'y mets mon amarante.
Dans mes pensées, elle est cet ange magnifique,
Qui m'inspire à cueillir cette angélique,
De ses petits plats, j'en garde les arômes,
En écoutant la belle âme de l'arum.
Au doux espoir de l'aubépine, elle s'en est allée,
Mais ma joie d'encore l'aimer vaut bien cette azalée,
Timide, je ne lui avait dit car je suis belle de nuit,
Elle était belle de jour et tout ce qui s'en suit.
C'est près de mon camélia que j'y vois sa constance,
Rouge ou rose, il me porte toujours chance,
Je dessine au fusain ton image dans mon cœur,
Tu es mon immortelle pour encore plus de bonheur.
D'ici, mon mimosa enrobe tes délicatesses,
Tu es ma reine-marguerite qui lutte en tendresse,
Aujourd'hui pour ton calme un p'tit peu de lupin,
Pour ta beauté, de roses, j'en mets plein,
Je partage cette échinacée, la force de ta fille,
Ce coquelicot pour ton repos bien tranquille,
Et par cette véronique, nos pensées encore s'accordent,
Ce chrysanthème sur ton corps enlève toutes discordes.